La confiance en soi, un concept sans intérêt.

confiance en soi

La confiance en soi est un thème qui revient très régulièrement. Je le prends pour une pensée sans intérêt. Par contre, un nombre important de personnes que je rencontre sont perturbées par ce concept. Cette pensée limitante, comment s’en défaire ?

« Je manque de confiance en moi »

Quelle phrase ! Qui ne l’a pas  prononcée, un jour, au moins une fois dans sa tête ! Mais de quoi parlez-vous quand vous dîtes « confiance » ? Quel est le sens de ce mot dans la phrase ? Si vous observez réellement la phrase, il n’y a rien qui puisse définir ce mot. Cette phrase n’est qu’une pensée sans intérêt, et nous allons voir comment la réduire à néant !

Que me manque-t-il ?

Prenez le temps de vous poser la question : « qu’est ce qu’il me manque pour avoir confiance ? » Concrètement, là, maintenant, interrogez-vous. N’attendez pas une autre fois, un autre moment. Stoppez la lecture et interrogez, prenez ce temps pour vous. Qu’est qu’il vous manque, des mots viennent, écrivez-les.

Connaître vos possibilités ?

Quoi que vous ayez écrit, et au vu de ce que vous réalisez sur le manque. Voyez que ce manque est une absence de connaissance de vous-même. Vous ne savez pas ce que vous pouvez réaliser. Vous ne savez pas que vous pouvez arriver à faire ce que vous souhaitez.

La confiance, une pensée crue !

Vous avez la capacité de réussir, en mettant en œuvre le savoir, les compétences adéquates à la réalisation. Tout cela s’acquiert. Vous croyez que vous n’êtes pas assez bon pour atteindre le but fixé ? Ceci est un concept, vous vous l’êtes tellement martelé dans la tête que vous finissez par y croire !

Peur de réussir ou d’échouer ?

Maintenant, regardons réellement ce qui vous fait peur : c’est d’échouer. Votre propre regard sur la non-réussite, et celui des autres ! L’échec est un évènement qui n’est pas conforme à ce que vous attendiez. Bon et alors ? L’insuccès est un apprentissage. Il permet de se rediriger, d’évoluer, d’inventer, de rebondir.
Vous êtes accroché(e) à une croyance
Observons, à présent : pourquoi ne pas vous faire confiance ? Qu’est-ce qui vous arrête : RIEN. Vous ne pouvez invoquer aucun argument qui puisse vous faire dire : « je manque de confiance en moi ». Car cette phrase est issue d’une pensée tant accrochée à votre esprit, qu’elle en devient une croyance. Vous croyez être cela. Vous pensez être cela, mais vous ne l’êtes pas ! En réalité, vous ne connaissez pas vos possibilités.

Pensée d’origine inconnue !

Une fois de plus, la pensée limite ! Le manque de confiance est issu d’une pensée d’origine totalement inconnue. Mais elle est présente et si présente qu’elle en devient une croyance. Puis cette croyance devient souffrance. Cette croyance est sans fondement, et sans origine, alors pourquoi s’en soucier ?

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